• Les islamo-gauchistes veulent la peau de Jean-Pierre Chevènement.

    Jean-Pierre Chevènement pourrait être nommé à la tête de la Fondation pour l'islam de France, et cela fait débat, c'est le moins qu'on puisse dire.

    Alors qu'il évoquait la ville de Saint-Denis lundi matin sur France-Inter, il a déclaré "«80% des enfants à l'école primaire ne maîtrisent pas le français» avant d'ajouter: «Il y a à Saint-Denis, par exemple, 135 nationalités, mais il y en a une qui a quasiment disparu», sous entendant, la nationalité française.

    Hélas, toute personne bien informée sait très bien que l'ancien Ministre de l'Intérieur n'a dit que la pure et triste vérité. La ville de Saint-Denis n'est qu'un terrible exemple de ce qui pourrait arriver à la société française toute entière si nous laissions le pouvoir à des irresponsables qui ont une idée bien étrange de la laïcité.

    Bien sur on  trouve à gauche de nombreux élus qui sont scandalisés des propos de Mr Chevènement. Il faut dire que si l'on veut être élu dans ces quartiers, il y a intérêt à faire du clientélisme et surtout à fermer les yeux sur des choses totalement inacceptables dans une démocratie telle que la France.

    Stéphane Troussel, le président socialiste du conseil départemental de Seine-Saint-Denis a accusé l'ancien ministre de l'Intérieur de «dérapage raciste». Pour sa part, le député PS de Saint-Denis a relayé une pétition contre la nomination de Chevènement à la tête de la Fondation pour l'islam. On trouve aussi certains élus qui prennent la plume pour écrire des articles immondes avec la complicité de médias bienveillants .

    Il faut savoir que ce triste sire, a par ailleurs soutenu cette réunion raciste anti-blanc qui s'est tenue à Reims dernièrement.

     

    Une attitude inacceptable et terriblement dangereuse de la part d'un élu de la République.

    Sur twitter, la ministre écologiste du Logement, Emmanuelle Cosse, a tenu à préciser "J'aimerais bien emmener Jean-Pierre Chevènement en Seine-Saint-Denis. Ce qui clive dans notre pays, c'est la ségrégation, pas la nationalité".

    A l'image de Cécile Duflot, on voit que les écologistes sont eux aussi dans la recherche de l'excuse permanente dès qu'il s'agit de pointer les dérives dues à l'immigration.

    On se souvient que lorsqu'en 1999 Jean-Pierre Chévènement avait utilisé le terme bien désuet de "sauvageons" pour nommer  "les mineurs multirécidivistes", déjà à l'époque la gauche de la gauche avait fait dans la surenchère verbale pour exprimer son extrême mécontentement face à la vérité.

    Il est évident que pour les islamo-gauchistes , Jean-Pierre Chevènement n'est pas le bon choix pour ce poste. Sa fermeté sur la laïcité, son amour de la République, son  attachement  à une certaine image de la France, font qu'il ne peut être compatible avec une extrême gauche toujours prête à justifier l'injustifiable, et à faire des concessions à une religion qui cherche continuellement à agrandir sa visibilité et son espace dans notre espace public.

    Et après ces gens se demandent pourquoi ils font des scores aussi faibles aux élections.


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  • "L'économie du Couple" de Joachim Lafosse.

    En ces mois de juillet et d’août, les bons films se font rares. Cependant quelques uns valent le déplacement. C'est le cas du dernier film de Joachim Lafosse, "L'économie du Couple".

     

    L'histoire:

    Après 15 ans de vie commune, Marie et Boris se séparent. Or, c'est elle qui a acheté la maison dans laquelle ils vivent avec leurs deux enfants, mais c'est lui qui l'a entièrement rénovée. À présent, ils sont obligés d'y cohabiter, Boris n'ayant pas les moyens de se reloger. À l'heure des comptes, aucun des deux ne veut lâcher sur ce qu'il juge avoir apporté.

     

    Encore une bonne petite comédie à la française comme on en voit toutes les semaines depuis environ 3 décennies sur un thème rebattu, me direz-vous.

    Et bien non, nous n'y êtes pas du tout. Si le sujet du film, la séparation d'un couple, peut rebuter un certain public qui ne supporte plus de voir ces petites comédies sans intérêt, son traitement en fait une oeuvre tout à fait originale.

    Ce film est intelligent, à l'image de cette scène entre amis plus vrai que nature. De bons dialogues, de la justesse, de la profondeur, des expressions du visage qui en disent long.  L'ambiance est intime et confinée. Le film possède également une certaine lenteur probablement souhaité afin de peser davantage .

    "L'économie du Couple" de Joachim Lafosse.

    Le réalisateur ne prend à aucun moment partie. On voit bien que nos 2 protagonistes ne sont pas parfaits, que chacun d'entre eux refusent de voir ses erreurs, qu'ils préfèrent reporter l'échec sur son conjoint .

    Les acteurs sont tous très bons, à commencer par les 2 petites filles.

    Dans le rôle du compagnon, Cedric Kahn est parfait. On voir surgir à de trop rares instants Marthe Keller en belle-mère qui ne peut plus rien pour sauver ce couple. 

    Quant à Bérénice Béjo, je dois avouer que si jusqu'ici je n'avais jamais été enthousiasmé par son jeu d'actrice, elle m'a littéralement bluffé dans ce rôle de jeune femme qui ne supporte plus cet homme qu'elle a aimé. 


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  • On dirait le Sud ...

    C'est un endroit qui ressemble à la Louisiane 

    A l'Italie 

    Il y a du linge étendu sur la terrasse 

    Et c'est joli ....

    C'est ainsi que débute la magnifique chanson de Nino Ferrer.

    Il fait chaud, très chaud, trop chaud. 

    C'est encore un peu les vacances, et les vacances sont synonymes de jolies filles,de musique, de soleil. Et dans quel autre pays que l'Italie peut-on  rassembler au mieux tout cela.

    On dirait le Sud ...

    De suite je pense à ce superbe film de Dino Risi avec Vittorio Gassman et Jean-Louis Trintignant, "Le Fanfaron", et cette scène .....

    Lorsque j'entends cette langue italienne je ne peux m'empêcher d'être sous le charme , d'avoir de suite le sourire, d'être totalement séduit.

    Et puis qui a oublié cette superbe chanson dans le cerveau de Gérard Oury?

    Vous n'allez pas me dire que vous ne voyez pas. Et comme çà ?

    Si après ça il y en a encore pour défendre le burkini!

    Un classique.

    Moins connu, mais un régal.

    J'ai déjà utilisé cette chanson par le passé, mais lorsqu'on aime.....

    On termine avec le patron . Une chanson qui sera reprise par Françoise Hardy (La maison ou j'ai grandi) .


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  • Faut-il aimer ou détester les Jeux Olympiques?

    Lorsque le Baron Pierre de Coubertin a souhaité réinstaurer les Jeux Olympiques à la fin du XIXème siècle, il n'imaginait surement pas qu'ils deviendraient un événement aussi important avec tant de dérives.

    Si l'idée de départ du français de remette au gout du jour les Jeux Olympiques antiques était excellente, son succès grandissant Olympiade après Olympiade a engendré tous  les excès inhérents au monde moderne.

    Récupération politique, corruption,dérive financière, dopage et j'en passe.

    Oui, il y a de quoi être irrité par le monde du sport et ce qu'il est devenu, mais faut-il pour autant tout jeter dans ce que sont les J.O.

    On voit que désormais les plus grands champions gagnent énormément d'argent, que la célébrité et la gloire est parfois difficile à gérer pour certains d'entre eux une fois que la carrière est terminée.

    Mais à contrario ces Jeux sont aussi l'occasion de nous faire connaitre des sports qui n'ont jamais la chance d'être dans la lumière . C'est aussi l'occasion pour les champions de ses disciplines de démontrer qu'ils existent, qu'ils travaillent autant que les autres mais avec beaucoup moins de moyens. 

    Pendant tout ce temps ils doutent, ils craignent la blessure, la méforme, la malchance . Pour eux chaque jour et chaque entrainement est une marche de plus vers leur destin . Et ce n'est qu'une fois tous les 4 ans qu'ils ont le droit de sortir de l'ombre.

    De plus bien souvent ils poursuivent des études parallèlement pour pouvoir assurer leur vie une fois leur carrière terminée.

    Alors lorsqu'ils montent sur le podium il faut les voir, à la fois heureux et émus, admirant le drapeau bleu-blanc-rouge se hissant au plus haut sur fond de Marseillaise.

    La joie est présente bien sur, mais aussi le souvenir des échecs, des moments ou l'on a failli tout abandonner, comme ici Charline Picon après son échec de Londres.

    Que dire aussi d' Emilie Andéol , qui a bien failli  se faire virer de l'INSEP en 2010, et qui est Championne Olympique aujourd'hui.

    Pour tout ça, ces champions aux moments de gloire plus rare méritent le respect.

    Et puis que c'est beau d'entendre La Marseillaise, et aussi de voir notre drapeau au plus haut, pour un instant purement positif. 


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